أولاد حارتنا

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Al-Jabalawi est assis dans sa grande maison entourée de prix élevés et de ceux qui l'entourent qui se battent pour obtenir sa dotation, où ils s'installent dans leurs vertèbres et il se soucie du sol, car il s'est installé sur des parties des murs d'Al-Kabir, et bien sûr, celui qui cesse de prier pour qu'Al-Jabalawi le détruise et son isolement le quittera et le sauvera de la tyrannie des tyrans, ainsi la bonté prévaudra sur tout le monde Il apparaît et leur montre et les renvoie aux tyrans, mais la cupidité et l'ignorance les ramène à la fin de l'étape à ce qu'était la situation, et la pauvreté et la souffrance restent leur fatalité.
Dans ce merveilleux roman, Mahfouz décrit l'oppression et le désir des gens de se sauver d'eux-mêmes, comment les principes peuvent changer avec le balancement des âmes humaines et comment les bonnes actions tombent sous la main de la corruption et des corrupteurs.
Ce roman est l'un des romans les plus célèbres et les plus problématiques de l'écrivain, et l'Académie suédoise l'a noté lorsqu'elle a décerné à Naguib Mahfouz le prix Nobel de littérature.

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